*bzz... bzz...* Bonjour... (¬‿¬ ) Qu'est-ce qui t'amènes par ici ? L'envie de changer de peau, devenir ultra smart, riche et célèbre ? Mmh. Tu es au bon endroit. (* ̄▽ ̄)b Ah oui, j'oubliais... Je suis X. Bienvenue à Chesterfield. Ici, tout est possible ! Oui oui, promis. Enfin, tant que tu acceptes de te plier aux règles du jeu... « Quel jeu ? » Ne t'en fais pas, tu le découvriras bien assez tôt, LOLOLOL. ( ̄ε ̄@)
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Eden
Eden
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I look for joy in a strange place Empty I look for joy in a strange place

Mer 18 Oct 2023 - 14:42

 
     
          Eden
         
             
                  Deku My hero academia
             

             
                 
                     
                          Eden
                          ///
                          22 ans
                          Docteur - Résident (médecine)
                     

                     
                          Nippo-américain
                          Célibataire
                          1m65
                          #3dcb7c
                     

                 

                  Peut être qu’on doit être un peu amoché avant d’être à la hauteur.
             

         

         
             
                  mental
                 

Mélancolique – Discret – Bon fond – Gentil – Généreux – A des doigts d’orfèvre mais deux pieds gauches – Souffre de TCA – N’aime pas son apparence – Intelligent – QI supérieur à la moyenne – Dispose de capacités de mémorisation étonnante – Loin d’être sportif – Ne donne presque plus sa confiance – Violoncelliste – Parle japonais, anglais, français et chinois - Déterminé -  Pessimiste – Cœur d’artichaut – Mais les hommes ont perdu sa confiance – Passe son temps libre au dispensaire des quartiers pauvres – Donne toutes ses économies aux associations caritatives quand il le peut – N’a presque plus de contact avec sa famille – A adopté un chat qu’il a nommé « Patate » - Patate c’est son fils sa bataille – A énormément besoin de reconnaissance – Fait de la dépendance affective – Hypersensible mais ne veut pas se l’avouer – Piètre cuisinier, se nourrit exclusivement de nouilles instantanés ou de céréales (miel pops) – Est toujours émerveillé quand il va au cinéma – Va régulièrement au planétarium pour admirer le ciel comme un enfant – Ne sait pas jouer aux jeux-vidéo - Boit un nombre incalculable de cafés par jour


                 

             

             
                  alignment
                 

Que pensez-vous des dés ?
Ah cette bonne blague ! Dans un monde ou ça existerait, je dois bien avouer que… J’en sais trop rien, d’un côté ça pourrait aider certaines personnes comme les consumer.

                             Si vous pouviez changer le monde par un souhait, quel serait-il ?
Eradiquer les maux de ce monde.

                            Êtes-vous avide ?
Non.

                            Que désirez-vous à l'instant ?
Que Patate arrête de faire ses griffes sur le canapé.

                            Quel est votre rêve ?
Que les autres soient fiers de moi.
                     


                 

             

         

         
              story
             

TW : TCA - Harcèlement -

La chance n’est qu’une question de point de vue. Tu es né dans une famille plus qu’aisée, une mère ancienne célébrité locale et un père à la tête d’une grande entreprise nationale. Tu n’as jamais manqué d’argent, de nourriture ou d’éducation. Et pourtant, du plus loin que tu t’en souviennes, t’as jamais eu l’impression d’avoir eu un moment de repos, comme si t’avais toujours dû vivre ta vie à mille à l’heure. As-tu vraiment eu de la chance ?

Tu es né en plein mois de septembre au Japon, tes parents avaient fait appel à une mère porteuse, après avoir essayé en vain, ils avaient dû consulter et exposer les problèmes de leur intimité, c’était dire à quel point ils te désiraient. A peine arrivé, ta mère t’a couvé toute sa vie, s’assurant que tu ne manquerais de rien. Dès que tu fus en âge de marcher, elle te suivait partout pour s’assurer que tu ne tombes pas. Pourtant, sans erreurs, comment apprendre ? Elle a renoncé à son métier tellement elle t’aimait. Ton éducation s’est faite de manière bilingue, japonais et anglais, hors de question qu’il loupe une occasion pareille. Alors, t’as parlé bien plus tard que la moyenne, comment parler quand tu avais deux fois plus de mots à apprendre ? C’était la première fois que ton cerveau était surchargé, sûrement pas la dernière.

On t’inscrit aussi bien vite, puis après le solfège ce fut le violoncelle, tu n’eus pas l’occasion d’aller te faire des amis, non, on te donna des précepteurs, terriblement chers, mais si efficace. Tu ne connus pas le plaisir de la récréation, des jeux que les enfants adoraient, non, parfois, tu avais le droit à une petite pause pour lire un livre un peu plus simple. T’étais un vrai génie selon tes professeurs, le niveau se corsa bien vite, ce fut l’équivalent de te faire sauter deux classes en quatre années. Et pourtant, tu as suivi le rythme, tu as su t’adapter, sacrifiant ton sommeil, le peu de moment où tu pouvais t’amuser pour apprendre par cœur chaque chose.

Le sacrifice, c’est quelque chose que tu connais. Tout donner pour ne pas déplaire à tes parents, pour qu’ils soient fiers de toi, pour qu’ils te disent « je suis fier de toi », pourtant, ça n’arrivait jamais. On ne disait pas ce genre de choses. Car si ta mère pouvait se montrer affective malgré sa réserve, ton père pouvait parfois être un véritable mur, opaque à toute marque d’affection. Tu pensais qu’en travaillant suffisamment, tu pourrais briller ne serait-ce qu’une seconde dans ses yeux, pourtant, ils étaient aussi ternes qu’un ciel gris, vide de toute émotion.

Tu n’as jamais finis par comprendre que jamais ton père ne te donnerait l’amour que tu mérites, tu t’es implanté dans la tête qu’il n’y avait qu’un seul problème toi. Et toi seul. Cette idée ne quitta jamais ton esprit. T’essayais de tout donner dans chaque discipline, t’as donné ton premier concerto à 11 ans, ton professeur avait insisté, tout le monde avait applaudi, tu n’as pas su si c’était le cas de ton père, mais tu te souviens encore de ses mots : « Tu as joué trop vite sur la fin, la réputation de la famille ne doit pas pâtir de tes erreurs ».

Ta mère tomba malade, la seule ancre que tu avais commencé à céder, comme une peinture qui s’effritait petit à petit. On lui diagnostiqua un cancer, t’as eu peur, t’essayais de passer du temps avec elle mais on t’empêchait de l’accompagner à sa chimiothérapie, ce n’était pas quelque chose que les enfants pouvaient voir selon eux. Tu la vis perdre ses cheveux petit à petit. Elle qui était si belle, elle se fanait. Alors, un soir, un médecin annonça la nouvelle, votre mère ne serait pas là à noël. Tu passas beaucoup de temps avec elle, elle essaya de te donner un peu de sa sagesse et de te faire comprendre que ton père t’aimerait quoiqu’il arrive. Un matin, tu te réveillas orphelin. La peinture n’était plus là, il ne restait plus qu’un mur, vide et brut.

Ton père et toi n’échangiez rien, à table, tu osais à peine lever les yeux de ton assiette. Une fois finie, tu pris un dessert, tu te pris une remarque, elle était gratuite, nullement constructive et elle te blessa intérieurement. Gros ? Comment pouvait-on dire que son fils était en train de grossir ? Tu ne disais rien, ce soir-là, tu te regardas longuement dans le miroir, cherchant qu’est-ce qui n’allait pas dans ton corps.

Ensuite, petit à petit, tu commenças à réduire tes portions, allant même jusqu’à sauter des repas. Et quand tu mangeais trop, tu culpabilisais, tu culpabilisais tellement fort que t’allais jusqu’à te faire vomir, tu ne voyais plus que les kilos potentiels que ton père allait te faire remarquer. Car les remarques n’arrêtaient pas, la perte de sa femme l’avait rendu amer, cruel.

Il finit par t’envoyer en pensionnat, car ta vision lui rappelait trop sa défunte femme. Tu découvrais la vie avec d’autres jeunes de ton âge et pire, tu devais vivre avec. Tu eus du mal à t’intégrer, malgré l’école de gros bourgeois, tu étais le mec bizarre, discret qui ne parlait pas beaucoup et qui passait son temps à lire. Avoir deux ans de moins qu’eux n’arrangeait rien. Néanmoins, tu arrivas à te faire quelques amis malgré tout, un garçon te marqua plus que les autres.

Il était beau, les cheveux bouclés, ils reflétaient le soleil. Son sourire brillait, il te donnait une impression de chaleur dans ce monde si froid. Et surtout, une impression de pause dans cette vie surchargée. Tu ne savais pas comment réagir face à ces sentiments, c’était tout nouveau pour toi. Tu ne connaissais pas grand-chose de l’amour, tu avais lu quelques livres, vu quelques films. Mais Jane Austen pouvait-elle décrire ce que ressentait un adolescent perdu à qui on donnait un peu d’attention. Alors, tu décidais de coucher tes sentiments sur le papier, de tout lui confier, de lui avouer la vérité, d’évacuer ce poids sur tes épaules.

Ce que tu reçus en retour ce fut… Des moqueries. Des rires. De tous les côtés. Des visages hilares. Des doigts pointés sur ton visage blême. Des passages lus à voix haute dans toute la classe. Une convocation par le proviseur. On te disait que c’était un pensionnat pour garçon, qu’il n’y avait pas de place pour des gens « faibles », qu’on avait appelé ton père et qu’il était terriblement déçu. Tu réprimas cette attirance, on venait de te dire que ce n’était pas normal et que tu devais changer, t’essayas, mais tu n’y arrivas pas.

Ta vie continua, t’acceptais un peu plus qui tu étais mais ce n’était pas le cas pour les autres. Enfin, il y eut une exception, après avoir changé de chambre à cause des moqueries, tu te retrouvas dans la chambre d’un autre garçon. Le début fut froid, il avait fait une frontière pour séparer la moitié de la chambre, comme si tu étais un pestiféré. Petit à petit, la barrière tomba au fil des discussions, il apprit à te connaître, comprendre que tu n’étais pas malade comme d’autres petits bourgeois pouvaient bien le penser.

S'en suivit un nouvel amour, secret bien évidemment, il ne faudrait pas que sa réputation puisse en prendre un coup. Cet amour était-il sain ? Bonne question, tu n'en sus trop rien, d'un côté t'étais heureux d'être aimé, mais n'était-ce pas seulement pour ton physique ? Tu avais le droit à des compliments, il aimait ta minceur, alors tu l'entretenais plus que tout. Pour un homme, pour avoir le corps qu'il voulait entre ses mains, tu sautais tes repas, tu te faisais vomir, t'en arrivais à faire des malaises parfois en cours. Il fallait bien essayer de te comprendre, tes camarades se moquaient de toi, mais t'avais l'impression de briller dans les yeux d'une personne.

Un jour, cela s'apprit, une histoire toute bête d'un surveillant accompagné d'un camarade rentrant au pire moment dans ta chambre. Tu fus la honte de l'internat, de l'école mais aussi de ta famille. Ton père t'avait écris une lettre, il payerait tes études, il te payerait ce dont tu avais besoin mais il ne voulait plus avoir le moindre contact avec toi, il ne voulait plus être associé à la honte que tu représentais.

Tu changeas d'école pour terminer ta dernière année dans un nouvel endroit, tu fis profil bas, tu choisis de ne pas essayer de t'intégrer, tu t'installais au fond, tu ne parlais jamais, tu sortis avec la meilleure moyenne de l'établissement, il y avait parfois quelques bruits de couloirs mais tu n'y accordas pas une grande importance. Tu tentas médecine, c'était le plus prestigieux selon toi, t'étais fier de réussir, t'étais plutôt bien placé en plus.

Tes années d'études se passèrent de la même façon, tu ne parlais à personne et tu ignorais tout le monde. Tu accordais tout ton temps à tes études, tu t'entrainais jour et nuit à faire et refaire des sutures sur tout ce qui te passait sous la main. Un soir, tu tombas sur un chat dans une poubelle, tu regardais à gauche et à droite, qui avait pu le laisser là ? Tu le pris automatiquement chez toi, pour le laver et le réchauffer. Tu t'en es occupé comme personne, sacrifiant le peu de sommeil que tu t'accordais pour vérifier qu'il respirait encore, qu'il n'avait pas faim.

Tu l'appelas Patate, drôle de prénom pour un chat, mais t'en étais fier. Tu le gâtes toujours, c'est ton gros bébé, il passe son temps sur toi et ne laisse pas grand monde s'approcher. Il est un peu comme toi, tu ne laisses personne t'approcher. Les hommes furent bannis de ta tête, à chaque fois que tu commences à penser à un potentiel crush, tu te nourris de toute la haine et du dégoût que t'as pu emmagasiner envers eux.  

T'as finis tes études, tout le monde n'y arrivait pas, tu t'es proposé à bien des hôpitaux, quelques uns t'ont reçut, tu voulais éviter les grandes villes, oublier le bruit des mégalopoles, te contenter de quelque chose d'un peu plus bruyant en restant simple. Chesterfield s'offrit à toi. Tu trouvais la ville chouette, tu peux travailler à fond, te tuer au boulot mais aussi faire du bénévolat aux différents dispensaires des quartiers plus pauvres, lorsque tu as un minimum de temps libre. Car ouais, t'as beau essayer de fuir les gens, tu ne peux t'empêcher de les aimer.

Un jour, alors que tu recousais les plaies d'un mec qui semblait détourner l'utilisation des calmants, tu l'écoutais divaguer. Il te parla des dés, de leur pouvoir, de X. Tu ne comprenais pas où il voulait en venir, tu lui fis passer quelques examens, il n'était pas très clean en effet. Tu le trouvas donc plein d'imagination, il te disait de te méfier et toi tu lui disais de songer à écrire un roman et arrêter les produits illicites.


             

         

     

 

 
     
          Belleteyne / Caillou
         

Tu fais quoi dans la vie ?
Des pâtes au potimarron.

                              Comment tu nous as connus ?
« Caillou, imagine si les dés pouvaient changer tes capacités ? »

                              Si les dés existaient vraiment, tu en ferais quoi ?
Tout en chance ou en charisme
             


         

     

 

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Félicitations EDEN ! \(≧▽≦)/ Banger le pseudo. J'aime beaucoup ta fiche, même si j'suis archi triste de voir qu'il a vraiment pas eu de chance dans sa vie. Il est doux et on a envie de le protéger, mais en même temps on a peur de l'approcher parce que Patate pourrait bien nous mettre une... patate dans la gueule. Ha. Ha.

Blague à part, son père c'est un fdp et j'espère qu'il va bien crever dans l'intrigue :D Vive Eden, longue vie à Eden ♥ Un médecin dans le Dice Gang, ça fait plaisir ♥ Bravo pour ta validation ! les liens pratiques

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